C’est que Goldorak, c’est quand même une valeur sûre de notre patrimoine télévisuel. Pour ceux qui grosso-modo sont âgés de 30 à 40 ans, rien que la chanson de Noam c’est tout un univers qui revient à la mémoire. Et des mots qui arrivent en pagaille : Actarus, Fulguropoint, Astero-hache, invincible robot des temps nouveaux… Ah, que de Nostalgie… Goldorak est bien présent sur les blogs… On tape Goldorak dans le moteur de recherche blog de Google et on se retrouve déjà avec plus de 37 mille 500 entrée. A titre de comparaison, Maya l’abeille ne fait que 1900 entrées. Mais que peut une abeille contre Goldorak ? Parmi les blogs, beaucoup de collectionneurs s’expriment, comme celui-ci qui a lancé « Goldorakalbator »… Avec une nostalgie qui ressemble à une plaie mal refermée… Gamin, il était fan de Goldorak, et il voulait avoir pour lui tout seul les jouets qui lui rappelaient sa série préférée… Mais voilà, ses parents, sans doute inspiré par les ennemis de Goldorak, ne l’entendaient pas de cette oreille et refusaient d’accéder à cette faveur… Résultat, il a vécu une frustration goldorakienne intense… Sauf que, sauf que… 30 ans plus tard son épouse lui a acheté un Goldorak pour sa Noël 2003. Et depuis, ben, il collectionne, il collectionne…
Et donc Goldorak serait une référence importante sur les blogs? Normal, normal. Un héro pareil, ça ne s’oublie pas. Demandez à notre collectionneur, là, qui s’est fait offrir un T-Shirt Goldorak et qui n’ose même pas le porter de peur de l’abimer. Goldorak c’est un souvenir qui s’entretient avec tendresse et révérence. Dès lors, on ne peut renvoyer vers un site au titre un peu begayant (« gogogoldorak ») qui dresse un véritable état des lieux de la série. Ce n’est pas un blog, à proprement parler, mais il pourra servir d’outil très utile à ceux qui veulent parler du robot nippon sur leur blog… Là, on se remet en mémoire les visages des héros de la série : le prince d’Euphor (bien sûr), mais aussi Alcor, Venusia, le général Hydargos, le commandant Minos avec sa tête de Frankenstein triste et bleu. Et puis surtout les robots… Les adversaires de Goldorak, les Golgoths… Les verts, les jaunes, les rouges, tous plus forts les uns que les autres, mais forcément battus par le plus grand de tous. Goldorak. Notre madeleine en acier de Proust la plus vivace du tube cathodique de la fin des années 70 et du début des années 80.
http://www.gogogoldorak.fr/menu.html
http://goldorakalbator.boosterblog.com/
Et donc Goldorak serait une référence importante sur les blogs? Normal, normal. Un héro pareil, ça ne s’oublie pas. Demandez à notre collectionneur, là, qui s’est fait offrir un T-Shirt Goldorak et qui n’ose même pas le porter de peur de l’abimer. Goldorak c’est un souvenir qui s’entretient avec tendresse et révérence. Dès lors, on ne peut renvoyer vers un site au titre un peu begayant (« gogogoldorak ») qui dresse un véritable état des lieux de la série. Ce n’est pas un blog, à proprement parler, mais il pourra servir d’outil très utile à ceux qui veulent parler du robot nippon sur leur blog… Là, on se remet en mémoire les visages des héros de la série : le prince d’Euphor (bien sûr), mais aussi Alcor, Venusia, le général Hydargos, le commandant Minos avec sa tête de Frankenstein triste et bleu. Et puis surtout les robots… Les adversaires de Goldorak, les Golgoths… Les verts, les jaunes, les rouges, tous plus forts les uns que les autres, mais forcément battus par le plus grand de tous. Goldorak. Notre madeleine en acier de Proust la plus vivace du tube cathodique de la fin des années 70 et du début des années 80.
http://www.gogogoldorak.fr/menu.html
http://goldorakalbator.boosterblog.com/
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